LE FOSSOYEUR DE FILMS #37 - Épisode final

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2018-11-25に共有

コメント (21)
  • Je sors de la majorité silencieuse pour saluer cette série de vidéos qui a éveillé en moi une fibre cinéphile depuis le premier épisode mis en ligne il y a maintenant plusieurs années. Si je ne vous connais pas personnellement et je ne vous ai jamais rencontré, sachez monsieur Theurel que votre travail relève autant de l'intelligence scientifique universitaire que de la sensibilité artistique d'un créateur passionnant. Merci au Fossoyeur de Films d'avoir déterré ces choses pour leur donner une vie nouvelle.
  • Je vous découvre par cet épisode final... Et me voici pris d'une sorte d'étrange nostalgie de l'inconnu. Une étrange impression d'arriver enfin à cette fameuse soirée, dont tout le monde a tant parlé, alors que la fête est finie, et que les derniers à partir, se souhaitent déjà bonne nuit... Comme le gout du sel et de l'amertume qui fouettent la langue, quand on s'attend au sucre et au miel... Me resteront les plaisirs posthumes de cette playlist abandonnée, de ces 6 années jamais encore visionnées. D'habitude quand on découvre, c'est : "bravo, continuez comme ça", là j'ai envie d'hurler : "non n'arrêtez pas, je viens juste d'arriver"... Et mon cri se perd, dans un écho sans voix... Bien à vous ! Un fan posthume...
  • Beaucoup d'entre nous font des marathons de chaînes YouTube. Certains marathons sont malheureusement plus bref que d'autres. Après le JDG, SLG et les Hard Corner, j'ai décidé de refaire un marathon du Fossoyeur. C'est le troisième que je fais sur cette chaîne. Pendant l'épisode précédent, je me suis dis que je pourrais en regarder mille de ces vidéos. Et puis je me suis rendue compte, abasourdie, que j'allais entamer l'épisode final. C'est avec le cœur serré que j'écris ce commentaire. Je sais que je regarderai encore ces vidéos et toujours avec la même envie et le même plaisir. Mais je voudrais que ça ne s'arrête jamais. J'aime tous tes personnages, Fossoyeur, ton intrigue, ta façon de parler, de raconter. Pupuce... Si un jour tu lis ce commentaire, je te remercie, du fond du cœur de m'avoir fait découvrir tant de films et d'univers. Peut être un jour, reviendra-tu nous faire découvrir de nouveaux et étranges films. Fossoyeur. Fossoyeur. Fossoyeur...
  • @Le_Clap
    Merci, un énorme merci D'avoir été ma source d’inspiration, de m'avoir toujours poussé à aller au dela De m'avoir tant apporté Merci François, Tu conclues ta série de la plus belle des manières, on pouvait pas avoir mieux. Bonne continuation et bravo à toute l'équipe
  • Quelle agréable surprise de te voir aborder ce film dans cet épisode final. Lui qui fut une sorte de climax de mon enfance, j'avais toujours eu l'impression qu'il y avait beaucoup plus dans ce film que la simple nostalgie d'une époque, alors merci pour cette analyse et cette bien belle conclusion. En plus, il y a Le Masque en caméo ^^
  • Je me suis regardé tous les épisodes de cette émission récemment et le plaisir a été plus grand que jamais. Parce qu'avant, avec les mois qui séparaient la sortie des épisodes, j'oubliais des détails de la trame. Me voilà arrivé à la conclusion et donc, tant que j'y suis, voici la mienne, pour le plaisir ^^ : Pour moi le fossoyeur de films ça nous parle d'amour de l'interprétation. J'avais un prof en musicologie qui me disait que parfois l'analyste cernait mieux la création de l'auteur que ce dernier. Et que cette analyse pouvait être elle-même une œuvre à part entière. Le fossoyeur est une œuvre à part entière. Et comme tout œuvre, elle nous dit des choses sur son auteur. Déjà qu'il a côté très "professeur" si je poursuis mon parallèle avec mon prof de musicologie. Autant par son plaisir de transmettre que celui d'aimer écrire une thèse. Puis cette thèse qui est défendu ici révèle une thématique : donner son intelligence aux œuvres qui nous ont marqué. C'est un truc que j'ai remarqué lorsqu'on vieillit, on a envie d'insuffler de la matière grise à nos amours de jeunesse. Pour rendre plus noble les raisons qui ont déclenché ces passions en nous ? En fait c'est un investissement vers nous-même. Et cet investissement c'est difficile de l'avoir pour d'autres choses que celles de l'enfance tellement c'est une période sacrée. (C'est selon moi ce qui a créé le désamour Prométheus tellement les gens avaient donné de leur intelligence à Alien, étant donné qu'ils l'avaient vu jeune. Mais ça c'est un vaste débat haha !) Vouloir rendre intelligent un film réputé comme décérébré, n'est-ce pas pour montrer par là-même qu'aimer ce film ne fait pas de nous un idiot ? Enfin voilà c'est ce que ça m'a inspiré, et tu ne pouvais pas me faire plus plaisir en terminant par les Tortues Ninja ! En tout cas j'ai adoré voir l'évolution du format au fil des années, c'est vraiment top. Du coup bravo et bonne continuation :-)
  • Nous sommes le 02/02/2020 et après 1 an et 3 mois, j'ai enfin osé cliquer sur cet épisode final du fossoyeur. Petite madeleine que je gardais précieusement sous cloche dans mon coffre fort réfrigéré, tel un bon roman que l'on arrête avant le chapitre final pour ne jamais sortir de son univers. Et BAM ! vous sortez les virées ciné. Il était temps de déguster cette madeleine. Merci Fossoyeur !
  • La fin d'une époque. Je vais être honnête - durant l'attente de cet épisode, je ressentais un bizarre mélange de confiance aveugle et d'appréhension sourde. Quel film choisirais-tu pour couronner l'aventure du Fossoyeur ? Comment pourrais-tu décider d'un "Top 1", d'un Précieux, d'un Unique film qui serait fatalement adoubé aux yeux du public, au détriment de tous les autres que tu avais envisagés ? Allais-tu réussir à le défendre sans faux pas, sans trahison ? Il m'a fallu du temps, prise dans le mouvement de l'épisode, pour prendre conscience du choix que tu avais fait - avec l'élégance et l'humour bien particulier dont tu ne te sépares jamais. Oui, tu donnes effectivement une réponse à ce questionnement avec lequel tu tourmentais ton personnage et ton public depuis tant de mois... Et cette réponse n'a aucune importance, comme le comprend avec un sourire le Fossoyeur. Ce Film de Genre des Films de Genre, ce n'est pas lui qui est important. Le vrai trésor d'une chasse au trésor, ce n'est pas le coffre rempli de richesses que l'on trouve à la fin - c'est vraiment la chasse elle-même, la progression de l'individu, les découvertes inattendues faites en chemin. Pour le personnage du Fossoyeur, c'était une réflexion sur son rapport intime au cinéma (plus ou moins identique au tien, la frontière entre la fiction et la réalité étant plus volatile que la rosée du matin). Tout son discours sur son film, ton film choisi, les Tortues Ninja, m'a émue, je n'ai aucune gêne à le reconnaître. Un exemple parmi une pelletée : le passage où tu résumes le film en ciblant son côté sombre et poignant m'a prise par surprise et m'a coupé le souffle. Il est facile de décrier, de moquer, de mépriser les oeuvres de genre en les jugeant d'un oeil hautain et en les qualifiant d'amusements décérébrés gentillets... Il est plus difficile, mais surtout tellement plus formateur de faire l'effort de ravaler un instant sa fierté et son instinct grégaire, pour donner une chance à l'oeuvre de raconter sincèrement son histoire, de la défendre et de l'offrir. Ah, je ne sais pas vraiment ce que je veux dire avec ce commentaire. C'est la fin d'une époque. J'ai beau me rassurer en me rappelant que ce n'est que le Fossoyeur qui disparaît, que notre cher François reste fidèle au poste - ça fait quand même quelque chose. Je te suis depuis 6 ou 7 ans maintenant, j'étais au lycée à l'époque où j'ai découvert ta chaîne avec ton épisode sur la Mythologie au cinéma... Tu m'as donné le goût du cinéma, tel que je n'osais pas l'aborder à l'époque. Désormais, je prête attention aux détails de mise en scène, aux efforts de montage, aux jeux de lumières et de couleurs, aux sous-textes et aux volontés des auteurs. Pas toujours, et pas forcément avec pertinence, mais souvent. Parce que tu m'y as donné goût. Parce que connaître et savoir repérer tous ces codes qui font partie d'un langage commun non verbal - le langage du cinéma -, et parce que connaître et savoir dénicher l'humain derrière l'oeuvre - les humains -, c'est pour moi tout un monde nouveau, caché derrière le monde du "simple" film projeté sur un écran plat. Je me perds, je me perds dans ce commentaire... Ce que je voulais dire, en vérité, c'était un "merci". Un vrai, grand, timide, impressionné, affectueux, émerveillé, sincère : Merci, François, pour toutes ces années passées et à venir. Merci pour la saga du Fossoyeur de Films. Merci pour les Après-Séances. Merci pour les Apartés. Merci pour les Film Wars. Merci pour toutes ces vidéos n'appartenant à aucune catégorie particulière. Merci aussi pour ton livre qui ravit mon chevet en attendant d'y accueillir de petits frères. Merci pour tous tes projets. Merci pour ta voix, ton humour, tes émotions, tes réflexions, ta pudeur, tes références, ta sincérité, tes personnages, tes créations, merci pour tout. Et bravo. Je souhaite bonne route au Fossoyeur, quelle que soit sa destination (est-il vraiment du genre à en avoir une ?). Et je reste fidèle au poste pour voir l'évolution de ta chaîne. :)
  • Depuis le 29 avec Antoine Daniel au 25 Novembre 2018, j'ai pris 5 ans, je suis majeur, j'ai eu mon bac, j'ai découvert le monde...tu m'as accompagné presque un tiers de ma vie. Merci François, merci pour tout. See you, Space Cowboy...
  • Cet homme a fait une analyse profonde et émouvante... des Tortues ninjas... Fossoyeur, merci pour toutes tes vidéos imprévisibles et magnifiques. Toi et ta pelle me manqueront. ✋🏻😔
  • Je mets pas souvent de commentaire, mais là je me sens obligé. Il ya quelques année alors que j'étais juste un jeune adolescent j'ai découvert François Theurel et Pupuce. Vidéos après vidéos, années après années, il m'a transmis sa passion pour le cinéma. Et aujourd'hui, je suis en route pour faire du cinéma mon métier, ma vie, et ça a commencé ici. Alors François, Merci.
  • Et comme tout vrai cinéphile il a utilisé la technique oubliée dans le cinéma actuel : une fin à son œuvre
  • Et ... ça se termine sur la BO de Dune. Il y en a des choses qui ne changent pas.
  • @spike9558
    J'avais déjà été profondément touché par l'épisode sur Cowboy Bebop car tu avais mis les mots sur des sensations dont je n'avais pas pris conscience. J'étais sortis du visionnage chamboulé. Comme après un film qui nous marque. Comme une transe qui arrête le temps pour que l'on puisse réfléchir. Lorsque l'épisode final est sortis, je ne l'ai pas regardé. Je voulais prendre le temps pour le voir comme on prend le temps pour aller au cinéma. J'ai d'ailleurs voulu imiter cette expérience. Une semaine plus tard, ce soir, j'ai branché l'ordi à la télé. Je n'avais pas d'attente pour la vidéo. Juste une curiosité subtile. Je me disait que le film de genre ultime était propre à chacun. Ou plutôt si j'avais une attente. Je voulais ressentir de nouveau ce chamboulement. C'est pourquoi j'ai d'abord été déçu lorsque tu as commencé à parler de Tortues Ninja. Je ne suis pas né à la bonne époque pour avoir connu la vague Tortues Ninja et j'avais encore en tête la vidéo de JDG. Mais à mesure que tu exposait tes idées, mon esprit à basculé. Comme la "boule" de l'expression "bouleversé". J'ai pensé et préjugé sans réfléchir alors même que je me disais que le film de genre ultime était propre à chacun. Ton film achevé, je suis de nouveau ému; toutefois pas autant que la vidéo précédente mais ce n'est pas important car elle me pousse à la réflexion des films qui m'ont touchés. J'ai l'impression d'essayer de saisir la sensation de la madeleine de Proust dans les films de mon passé. Réussir à transmettre une sensation aussi intime que ça… Je n'arrive pas finir ma phrase tant je suis touché. Merci pour toute ces expériences partagé au cours de ses six dernières années. À toi, à ta passion, aux films que je suis allé voir grâce à toi et à ceux que je n'ai pas encore vu : merci. "Merci" : le mot dont je ne suis pas satisfait tant il n'est pas assez chargé de reconnaissance à mon goût. Alors c'est tout ce mot qui est mon hommage. À ta prochaine vidéo. See you Fossoyeur de les Films
  • "Non mais.. Ca marche ? Sérieux c'est quoi ce matos !" Les premiers mots du premier épisodes et les dernier de l'épisode final :) La boucle est bouclé.
  • C'était bien cool ! Merci d'être une inspiration, et les tortues ninja ça dechire !
  • Je suis ému... Pour la première fois sur Internet, devant mon ordi, je chiale bon dieu... C'est la référence au premier épisode qui m'a eu :p Merci François, Merci pour ces 6 années de Fossoyeur, Merci pour ce contenu qui reste et restera de très loin mon préféré sur internet... Big love <3
  • Que regarder après ça ? J'ai la même impression que si je sortait du cinéma après un film vraiment marquant, l'esprit encore entre deux univers. J'affirme avec certitude que cette série du fossoyeur de film à contribuer à construire ma sensibilité artistique. Tu es au dela d'un simple vulgarisateur, d'un simple critique, et avec cet épisode tu apportes toi aussi ta pierre à l'édifice du septième art. Bon courage pour la suite, je ne me fais pas de soucis
  • Hé bé, il m'aura fallu presque une semaine pour avoir le courage de le regarder. C'est une page de mon YouTube qui se tourne. En beauté, cela dit, aucune déception, bien au contraire. Et du coup, la saison 2 elle sort quand? ... comment ça c'est moi qui sort?